jeudi 31 mai 2012
Le soir du 31 décembre, un homme (Antoine) invite une femme (Sandrine) à passer la dernière soirée de l’année avec lui. Jusqu’ici, rien d’exceptionnel. Sauf que Sandrine n’a pas la moindre idée de qui est Antoine ; qu’Antoine est névrosé jusqu’à l’os et compte mettre fin à ses jours aux alentours de minuit ; et qu’en plus de cela il a un paquet de révélations à faire à Sandrine. Révélations qui ne vont pas manquer de chambouler sa vie…
Après J’aime beaucoup ce que vous faites, Carole Greep signe ici une comédie romantique pétillante et enlevée, menée tambour battant par deux comédiens talentueux et bourrés d’énergie. Un spectacle empreint de fraîcheur, porté par une Juliette Galoisy (Sandrine) proprement hilarante.
Meilleurs Vœux au théâtre Tristan Bernard. De Carole Greep, mis en scène par David Talbot, avec Juliette Galoisy et Eric Gueho. Du mardi au samedi à 21h, en matinée à 18h le samedi. Réservations au 01 45 22 08 40 – 64 rue du Rocher, Paris 8e.
jeudi 10 mai 2012
Après le succès des quatre premières éditions de MONUMENTA, dont celle confiée l’an passé à Anish Kapoor, qui attira plus de 270 000 visiteurs, le Grand Palais ouvre cette année ses portes à Daniel Buren.
Pour cette nouvelle édition de MONUMENTA, l’artiste plonge le visiteur au coeur d’un Grand Palais métamorphosé. Son parcours dans l’espace le fera participer activement au déploiement et à l’activation plastique et spatiale d’une oeuvre inédite. La discrétion des outils engendre un maximum d’effets, lui révélant des dimensions cachées, un potentiel jusque-là invisible, une histoire ancienne et d’aujourd’hui.
Monumenta 2012, Daniel Buren au Grand Palais "EXCENTRIQUE(S)", travail in situ 10 mai - 21 juin 2012.
lundi 16 avril 2012
Il arrive que l’Afrique soit au centre de l’actualité. Cette fois, c’est le cas, elle est même au coeur de la région Centre !
Rendez-vous à Orléans à la librairie Passion Culture le samedi 21 avril. Au programme, des rencontres passionnantes avec de bons connaisseurs du continent noir, une exposition photo, des animations musicales, le tout dans une ambiance conviviale.
Alors, qu’attendez-vous pour vous recentrer sur l’Afrique...
jeudi 23 février 2012
Une nuit, de nos jours... Alors qu’Epinard attend avec impatience la jolie Caprice pour leur premier rendez-vous, Truck cherche à éviter Rachel, sa petite amie, en se planquant dans un hamac pendu sous la table. Cette nuit-là, tout va se jouer pour ces quatre jeunes gens déjà un peu esquintés par la vie. Entre le couple qui se forme et celui qui essaye de renouer, ce sont toutes les difficultés, les contradictions, les absurdités de l’amour et de l’amitié qui sont abordées. Si le thème manque probablement d’originalité, le texte est remarquablement écrit, simple mais percutant. Il est admirablement soutenu par les comédiens, qui livrent une prestation tout à la fois drôle et émouvante. Une troupe talentueuse, qui nous offre un spectacle rafraîchissant. A voir !
Les abîmés, avec Romain Levi, Anne Ribière, Eugénie de Bohent, Jérémy Noam. Au théâtre de la Reine Blanche le mercredi à 21h
dimanche 22 janvier 2012
Créatif, ingénieux, poétique, surprenant, drôle, ludique, facétieux… les adjectifs ne manquent pas pour décrire ce joli ovni théâtral programmé pour 20 représentations exceptionnelles au théâtre des Déchargeurs. Il s’agit de trois courtes pièces d’Eugène Ionesco (Le nouveau Locataire, Scène à Quatre, Exercices de conversation et de diction françaises pour étudiants Américains) réunies pour rire de l’absurdité de certaines situations de la vie, démanteler les faux-semblants du langage dans un ping-pong verbal et tourner en dérision les défauts les plus aberrants ou les angoisses de chaque humain. Une bonne occasion de redécouvrir l’auteur de la célèbre Cantatrice Chauve. Sans jamais se prendre au sérieux, Emilie Chevrillon et Coralie Maniez ont imaginé une mise en scène pourtant recherchée et vraiment très inventive mêlant la musique, les effets visuels et faisant presque de chaque élément de décor des personnages à part entière. Les comédiens sont talentueux, le travail sur les masques dans la dernière scène est réjouissant. La compagnie l’Obtus Obus est à ne pas perdre de vue !
Théâtre des Déchargeurs
Jusqu’au 11 février, du mardi au samedi à 19h30
www.lesdechargeurs.fr
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